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Détails pour le Rassemblement National

CE QU'ILS ONT DIT

DANS LE PROGRAMME DES LÉGISLATIVES 2024

Rien à ce jour.

DANS LE PROGRAMME DES PRÉSIDENTIELLES 2022

  • Ambition de développer des « plans de mobilités trains-mobilité douce, complémentaires à la voiture et à la moto, à l’échelle nationale et régionale ».
  • Proposition d’amélioration de l’accessibilité à l’autoroute avec un objectif de réduction de 10 % à 15% des péages (via la « nationalisation » des autoroutes).

DANS LES VOTES ET ACTIONS ANTÉRIEURES

« gratuité des transports ferroviaires, durant les heures creuses, pour les jeunes âgés de 18 à 25 ans, titulaires de la nationalité française, dans la limite des places disponibles » (Proposition de loi N° 1411).

DANS LES DÉCLARATIONS PUBLIQUES ET AUTRES PROPOSITIONS FAITES

  • Au sujet de la ligne Lyon-Turin : « Depuis 1998, le Front National s’oppose à ce projet, pour des raisons de respect des populations, de l’environnement, et de non-rentabilité. » ; « projet mortifère » (Communiqué de presse du FN du 9 mars 2016).
  • Toujours au sujet de la ligne Lyon-Turin : « C’est une ligne dont on a un immense besoin et qui sera, contrairement à ce qui a été dit, extrêmement écologique » ; « projet vital » (Interview d’Alexandra Masson, députée des Alpes-Maritimes, groupe Rassemblement National pour LCP -Assemblée nationale le 20 juin 2023).

L'ANALYSE DE NOS SERVICES PUBLICS

La politique du RN en matière de transport demeure centrée sur l’automobile et les infrastructures autoroutières existantes. Aucun plan de développement du transport ferré assorti d’investissements en faveur des infrastructures (grandes lignes comme petites lignes) n’est évoqué dans le programme.

En outre, la position du RN en matière de grandes infrastructures ferroviaires comme le Lyon-Turin demeure ambiguë et n’est pas sans contradictions. Ainsi, alors que le FN réaffirmait en 2016 son opposition au projet qu’il jugeait « mortifère », Alexandra Masson, députée des Alpes-Maritimes insistait en juin 2023 sur son caractère « vital », arguant qu’il s’agit là d’une « ligne dont on a un immense besoin et qui sera, contrairement à ce qui a été dit, extrêmement écologique ».